Jumelage Reims – Nagoya : Nishikidôri présente ses misos, mirin et sésame de la préfecture de Aichi

2018 l’année du Japon. Jumelage Reims / Nagoya (Japon)

Champagne et Sakura sur le parvis de la cathédrale : ce pouvait être le nom du rendez-vous original, auquel participait Nishikidôri les 4 et 5 mai prochains.

Nishikidôri, la gastronomie japonaise avait l’immense honneur de participer à la seconde signature du Jumelage entre la ville de Reims et la ville de Nagoya, préfecture de Aichi.

Nous y présentions la cuisine et la gastronomie japonaises, avec ses produits incontournables (Miso, soja, yuzu, Matcha…) mais aussi, quelques uns des fournisseurs originaires de la préfecture de Aichi.

Les produits Nishikidôri présentés sur le parvis de la cathédrale de Reims.

Mai 2018 : signature à Reims du jumelage avec la ville de Nagoya, lors des Journées de l’International

Après la donation d’oeuvres de l’artiste franco-japonais Foujita à la ville de Reims (802 oeuvres et 15556 documents et objets), celle-ci a souhaité développer ses relations avec la ville de Nagoya. Reims est d’ores et déjà jumelée avec les villes de Los Angeles, Mexico City, Nanjing (Chine), Sydney et Turin.  L’année 2018 est l’année du japon. La première signature ayant eu lieu en octobre 2017 à Nagoya, c’est en mai 2018 qu’une délégation japonaise est attendue à Reims pour la seconde signature.

2018 l’année du Japon. Jumelage Reims / Nagoya (Japon)

Nagoya : troisième ville du Japon au spécificités culinaires reconnues!

Nagoya est la troisième ville du Japon par sa superficie, avec 9 million d’habitants, derrière Tokyo, Yokohama et Osaka. Située sur la côte pacifique au centre de Honshu, elle est la capitale de la préfecture de Aichi.

Nagoya est d’abord connue pour son industrie automobile. Le siège social de plusieurs usine du groupe Toyota. La gare de Naoya est absolument exceptionnelle et entre dans les records : sa superficie au sol est la plus grande du monde. Autre spécificité : Nagoya est fort connue pour ses spécialités culinaires!  Tebasaki, kishimen, hitsumabushi, tenmusu, moriguchi … sont autant de plats typiques et attribués à Nagoya.

Tebasaki : ailes de poulets marinées dans une sauce sucrée avec des graines de sésame (= un yakitori)

Nishikidôri présente le miso rouge de la préfecture de Aichi

La maison Maruya Hatcho Miso (préfecture de Aichi) est spécialisée dans la confection de miso depuis le XIVème siècle.

Au cours de la période guerrière du Japon, de 1467 à 1615, ce miso était servi aux soldats du Shogun (Seigneur) Ieyasu TOKUGAWA

Nishikidôri a choisi la maison Maruya Hatcho Miso

La maison Maruya Hatcho Miso, établie sur la commune de Hatcho, Préfecture de Aichi . Cette zone était un point stratégique pour le transport maritime car il s’agissait du carrefour de l’ancienne route Tôkaido, point emprunté par les bateaux sur la rivière Yahagigawa.

Au cours de la période d’Edo (1603-1868), il s’agissait d’un port qui jouissait du monopole du négoce de sel. Il y était donc aisé de se procurer les ingrédients comme le soja et le sel nécessaire à la fabrication du miso dont la livraison s’effectuait ensuite par transport maritime.

Maruya Hatcho miso élabore ses produits selon les procédés ancestraux de fermentation naturelle en grand baril de bois de cèdre.

Les ingrédients sont très simples et naturels : soja, sel et eau. Dotés d’un véritable savoir-faire, les Maîtres Artisans de Maruya procèdent au mélange des différents ingrédients dans ces barils et le recouvrent de pierres afin de le compresser.

La préparation commence en hiver, et après 2 étés et 2 hivers, autrement dit 2 ans voire 3 ans et demi de fermentation, on obtient enfin le Hatcho Miso, pâte très ferme à la couleur brunâtre.

Au cours de la période de fermentation, le miso travaille naturellement sans, à aucun moment, la moindre intervention de la main humaine.

Les Maîtres Artisans s’en remettent donc complètement à la providence de la nature : telle est la tradition !

 

Sauce miso dare excellente pour accompagner le porc tonkatsu, les fritures de volailles, de poissons , les tofus…

Le miso s’utilise dans toutes sortes de plats : il relève le goût des potages sauces, plats de légumes, vinaigrettes… Il suffit d’en délayer une petite quantité dans un peu d’eau…

Non loin de Nagoya, la maison Takusei nous régale de ses mélanges à base de sésame…

Fondée en 1977, la société TAKUSEI produit une large gamme de produits au sésame – autre élément indispensable des cuisines asiatiques.

La matière première est intégralement inspectée à la main pour ajuster les paramètres de torréfaction et garantir le meilleur résultat.

En conséquence, la production est naturellement très limitée mais elle offre aux consommateurs le plaisir d’un produit de grande qualité et élaborée avec passion.

« Best of » historique de la maison Takusei

◆ Sésame à la bonite séchée (katsuobushi) De gros grains de sésame de la meilleure qualité sont recouverts de poudre de Katsuobushi (bonite séchée). Le goût du sésame est très présent et se marie parfaitement à la saveur Umami de la bonite séchée. Vous pourrez en saupoudrer sur du riz, des udon, soba et okonomiyaki.

Takusei & Nishikidôri présentent leur nouveauté 2018 : 8 nouvelles saveurs de Furikake

8 nouvelles saveurs de Furikake à découvrir chez Nishikidôri.

Nishikidôri lance 8 nouvelles saveurs de Furikake. Chronique d’un succès annoncé!

  • Furikake sésame et natto
  • Furikake sésame prune ume
  • Furikake sésame, sauce soja, condiment shiso
  • Furikake sésame doré, anchois shirasu, crevette Amiebi
  • Furikake sésame et amandes
  • Furikake sésame et nori de Ariake
  • Furikake sésame, légumes, prune ume.

Le furikake ou condiment au sésame à saupoudrer sont très populaires au Japon. Pour cause, le furikake n’a pas son pareil pour assaisonner, agrémenter et réveiller le plus simple des bols de riz. Il est la base même de la cuisine japonaise, apportant rapidement et très simplement croquant et saveur.

YAMASHIN SANGYO : La fine fleur de la gastronomie japonaise !

Depuis cinquante-cinq ans, la maison Yamashin Sangyo cultive la qualité et l’authenticité, d’abord en commercialisant de l’agar-agar puis, depuis 1971, en se dédiant à la pâtisserie via la préparation des feuilles et fleurs de cerisier sakura très prisées des fines bouches japonaises. Précurseurs, les maîtres artisans de la maison Yamashin Sangyo ne cessent d’inventer de nouveaux produits qui dépassent largement les frontières de la gastronomie du pays du Soleil Levant.

Sakura : tout un symbole

Au Japon, le cerisier sakura est, au même titre que le Mont Fuji, un symbole majeur qui a inspiré et inspire toujours bien des poèmes et oeuvres d’art. Il incarne à lui seul le renouveau et l’arrivée du printemps qui, chaque année, inaugure une nouvelle année scolaire, une nouvelle année comptable, etc.

Sakura mochi : pâtisserie de saison enveloppé dans sa feuille de cerisier.

Le MIRIN de SUMIYA-BUNJIRO SHOTEN

Il y a cinq cents ans, le mirin,  vin doux de riz condiment était consommé comme boisson. Aujourd’hui, il s’invite avec délice et douceur dans les recettes de cuisine japonaise… Le mirin de Sumiya-Bunjiro Shoten, élaboré depuis 1911 dans le plus pur respect de la tradition, plusieurs fois primé dans les concours gastronomiques, est plébiscité par les chefs japonais et les plus fins connaisseurs.

 

Sélection, tradition, climat : l’alchimie de la qualité

Au Japon, la région de Mikawa, au sud de la préfecture d’Aichi, offre un climat doux, un riz collant et  une eau de qualité, propices à l’élaboration d’un mirin d’exception à ce jour inégalé. 100% naturel, le mirin de Sumiya- Bunjiro Shoten n’est pas stérilisé, ce qui permet de préserver à son goût toute sa profondeur et sa force authentiques.

Une fermentation naturelle transmise par les Anciens

Il faut un an de patiente production avant que le mirin de Sumiya-Bunjiro Shoten ne révèle toutes ses qualités gustatives. Placés ensemble dans une barrique, le riz collant, le riz fermenté « koji » et l’alcool shôchû (volume d’alcool de 43 %) finissent par se mélanger dans une alchimie subtile et savoureuse au goût naturel, équilibré et généreux.

 

Le mirin de Sumiya-Bunjiro Shoten : mirin d’exception.

Nishikidôri , les indispensables de la cuisine japonaise

Les vertus de la cuisine traditionnelle japonaise ne sont plus à conter. Sa qualité première : elle est délicieuse !

La cuisine japonaise est variée, pour autant elle se base sur quelques grandes recettes et une liste de produits indispensables.

Sauce soja, riz, mirin, vinaigre de riz, miso, thé matcha, wasabi, nouilles et sésame pourraient bien séduire vos papilles et désormais obtenir une place de choix dans vos placards !

Les produits japonais Nishikidôri présentés sur le parvis de la cathédrale de Reims.

Les produits Nishikidôri présentés sur le parvis de la cathédrale de Reims.

Laisser un commentaire

Votre email ne sera pas publié